Lamellophone – SANZA Type4m

 

TYPE 4m: Sanza à languettes métalliques sur table « massive » sans résonateur (T4m)

  • La table de résonance est constituée d’une planche en bois dur (mubvamarora / gwarira) rectangulaire épaisse et creusée pour laisser des rebords latéraux, Le bord antérieur de la table est souvent pourvu d’une plaque de tôle clouée ou ligaturée à la table; sur cette tôle sont attachées des capsules de bouteille (majaka), qui serviront d’éléments vibrants et qui caractérisent le son de la mbira (dans le passé on utilisait des coquillages). Sur les sanza modernes cette technique du vibrateur, tend à disparaître dans le but, comme dans la musique occidentale, de procurer un son plus pur. Le modèle le plus populaire « mbira dzavadzimu », est directement reconnaissable par le clavier et le trou rond situé dans la partie antérieure droite de la table. Trou qui permet de la tenir en y introduisant le petit doigt de la main droite. Pour jouer de l’instrument trois doigts sont utilisés: Les pouces de chaque main et l’index de la main droite.
  • Les languettes du clavier (simple ou en terrasse), sont faites de lamelles métalliques (forgées à partir de fer natif, ou actuellement à partir de matériaux de récupération: ressort de sommier, baleines de parapluie, clous, rayons de vélo …).
  • Les languettes sont bloquées par une barre de pression métallique (mutenda) ancrée dans la table aux deux extrémités, mais aussi maintenue par la ligature de séparation des languettes, qui enserrent ainsi la table de résonance. Les languettes dans le modèle « mbira dzavadzimu » sont au nombre 22 à 28 et placées sur trois rangées (la voix des enfants, des adultes et des anciens). Il y a différents accords possibles et chaque joueur choisit le sien. Les deux accords les plus communs se nomment nyamaropa et gandanga. Traditionnellement pour un morceau joué avec deux ou trois instruments on utilisera le même accord.
  • Les touches des languettes elles-mêmes possèdent un nom. Par exemple: benzi = personne folle; shumba = le lion; zanga zang = entrer en transe; duri = mortier qui sert à écraser le maïs; gadzanga = calmer; mvundura = se laisser aller; tida = faire chanter; nhiura = grand tambour
  • Le chevalet antérieur est une lame de fer droite, posée sur le champ.
  • Le rebord postérieur de la table sert de chevalet postérieur.

En général, pour amplifier le son, le musicien peut placer sa « mbira » dans une grande calebasse (deze) coupée et évidée. La mbira est bloquée dans la calebasse à l’aide de un ou deux bâtons (mutsigo). Le nom du résonateur (deze) désigne parfois l’instrument lui-même.

Ces sanza (mbira) proviennent du Zimbabwe et plus particulièrement du peuple Shona qui représente près de 80 % de la population de ce pays, mais on les retrouve (sous des types approchant) dans les pays limitrophes: Zambie, Mozambique, Afrique du Sud …. Par exemple chez les Venda du nord Transvaal (mbira deza), et chez les Korekore du nord-est du Zimbabwe (madebe dza mbondoro). Menacé d’extinction dans les années 1930 (voir les travaux de Hugh Tracey, qui à cette époque, à étudié la musique de ces régions), cette instrument à survécu et même pris renaissance, avec la guerre d’indépendance des années (1960 – 1980), pour prendre ensuite une expansion et un succès grandissant sur les scènes du monde entier avec des musiciens de la World Music de stature internationale. D’ailleurs actuellement l’appellation « mbira » tend à supplanter l’appellation « sanza ». Tout comme dans le langage populaire actuel, tous les « tambours » sont devenus des « djembe » !

La mbira est l’instrument de musique traditionnel par excellence du Zimbabwe. On peut en distinguer cinq modèles courants, qui se différencient  par leur forme, leur taille et le nombre plus ou moins élevé des languettes.

1. La mbira dzavadzimu ou « mbira des esprits des ancêtres ou qui vient des ancêtres ». Le peuple Shona, l’utilise pour les cérém
onies spirituelles. Elle est la plus connue et la plus populaire au Zimbabwe. Elles possèdent trois claviers et on la reconnaît facilement grâce au trou situé dans la partie antérieure droite de la table. Trou qui permet de la tenir en y introduisant le petit doigt de la main droite. Le nombre standard de languettes est de 22 à 28. En général elle est placée dans une grande calebasse de résonance.

2. La mbira karimba plus petite, que l’on retrouve plutôt à l’est du Zimbabwe (Bulawoyo, Hwange, Kariba) qui possède entre 8 et 20 languettes et qui elle aussi est placée dans une grande calebasse de résonance.

3. La mbira njari huru que l’on retrouve dans la région de Masvingo, possède en général plus de 30 languettes longues et effilées, elle aurait été importée des Sena / Nyungwe du Malawi et Mozambique il y a plusieurs siècles.

4. La mbira matepe originaire du nord-est, région de Bindura et dont l’originalité est que la table est creusée par le côté antérieur. Elle possède environ entre 24 à 34 languettes longues et effilées. (voir type 5m)

5. La mbira dzava Ndau que l’on retrouve dans la région est du Zimbabwe à Chipinge (frontière du Mozambique), elle possède entre 25 et 30 languettes longues et épaisses.

 

L’aire culturelle du Zimbabwe / Zambèze inférieur (qui regroupe le Zimbabwe, Mozambique central, et les régions environnantes) sont les territoires les plus anciens et les plus riches et les mieux étudiés du complexe des lamellophones à touches métalliques. Le lamellophone qu’est la « mbira » est d’ailleurs un des mieux documenté, avec les recherches de Hugh Tracey et de son fils Andrew Tracey, ainsi que d’autres musicologues tels que Paul Berliner, Gerhard Kubik … etc.

La « mbira » joue un rôle essentiel dans la culture Shona, de tradition très ancienne, plusieurs siècles (certains morceaux traditionnels auraient plus de 700 ans). Elle était jouée pour le Roi, mais surtout pour entrer en contact avec l’esprit des ancêtres. Actuellement cet instrument de musique fait encore partie intégrante de la vie de tous les jours.

Répertoire traditionnel

En l’honneur d’un ancêtre on joue les morceaux qu’il préférait.

En l’honneur d’un chef décédé ou d’un guerrier. On l’utilise lors des cérémonies de deuil: on en joue la semaine suivant la mort d’un chef, avant d’informer la communauté, et lors de la cérémonie (Guva) organisée un an après la mort d’un individu pour faire revenir son esprit. On joue alors les morceaux que le défunt préférait.

Lors des cérémonies cultuelles nommées Bira, le Gwenyambira (joueur de mbira) attire les esprits avec sa musique. L’esprit communique alors à travers le Spirit Medium. Il traduit la langue des anciens. Makombwe (le plus puissant des esprits) aide la famille et la communauté lors de problèmes de santé et de climat (faire tomber la pluie lors des sécheresses ou de la stopper durant les inondations), et aussi pour chasser les mauvais esprits. On dit aussi que les joueurs (Gwennyambira) apprennent ces morceaux par le biais des esprits pendant leurs rêves.

Divertissement et cérémonies

De nos jours, on joue aussi pour le plaisir et de nombreux groupes l’intègrent à des instruments modernes comme la guitare électrique. La mbira est utilisée lors de diverses célébrations comme les mariages, la venue d’un nouveau chef et plus récemment lors d’événements politiques tels le jour d’indépendance et les réunions internationales.

Le jeu et la structure musicale

La mbira peut se jouer en solo mais le plus souvent elle est jouée en groupe. Pendant la performance, les mélodies s’entrelacent avec contraste, les rythmes sont syncopés ce qui crée des variations complexes. Un morceau de mbira est comme un morceau de jazz. Il est reconnaissable mais chaque performance est unique et exprime le moment présent. La musique de la mbira prend toute son ampleur quand elle est jouée à plusieurs. Chaque morceau est composé de deux parties La partie principale: kutshaura, la partie rythmique contrasté: kutsinhira. Quand la partie kutshaura commence, il
n’y a pas de moment fixé pour le départ de la kutsinhira. Le joueur intervient quand il le veut et les 2 parties s’entrelacent, ce qui crée une musique polyphonique riche et variée. Les joueurs de mbira ont un répertoire de morceaux composés (rwiyo), qui sont transmis oralement de génération en génération. La musique de la mbira est cyclique. Elle est généralement de quatre phases répétées de questions réponses.

Autres instruments d’accompagnement

Les tambours (ngoma), le plus grand (mitumba) et le plus petit (chitumba) participent à la musique pour créer une conversation (questions réponses). Ils conduisent la musique et guident la rythmique.

Le hosho est un hochet utilisé pour marquer le rythme. Des grains de hota sont mis dans des fruits séchés matamba (une sorte d’orange sauvage). Le musicien en tient un dans chaque main.

(Source: http://mbiraspirit.free.fr/) voir le lien ci-contre dans « sanza du Zimbabwe »

 

Bibliographie sélective

Berliner P – John Kunaka, Mbira Maker – African Arts – Vol 14, N°1 – 1980 * Berliner P – The meaning of the Mbira, Nyunga-Nyunga – Master’s Thesis, Wesleyan University – 1970 * Berliner P – The soul of Mbira: an ethnography of the Mbira among the Shona people of Rhodesia – Dissertation, Wesleyan University – 1974 * Berliner P – The soul of Mbira: music and traditions of the Shona people of Zimbabwe – University of California, Berkeley – 1981 * Kirby Percival R. – The Musical Instruments of the Native Races of South Africa – 1934 * Tracey A. – Mbira music of Jege A. Tapere – African Music – Vol. 2/4 – 1961  * Tracey A. – Three tunes for « Mbira Dza Vadzimu » – African Music – Vol. 3/2 – 1963 * Tracey A. – The tuning of Mbira reeds – African Music – Vol. 4/3 – 1969 * Tracey A. – The Mbira class of instruments in Rhodesia – African Music – Vol. 4/3 – 1969 * Tracey A. – The Matepe Mbira music of Rhodesia – African Music – Vol. 4/4 – 1970 * Tracey A. – How to play the Mbira (dza vadzimu) – Rooddepoort, Transvaal – 1970 * http://mbiraspirit.free.fr/

 

Source: Percival R. Kirby – The Musical Instruments of the Native Races of South Africa – 1934

Légende: Lemba playing upon the deze (photograhy by W. P. Paff)

Pays: Afrique du Sud 

Fb/liv59

 

Source: Zimbabwe National Archive

Légende: One of the oldest photos of mibra, circa 1900

Pays: Zimbabwe

Fb/cp21


 


Type: T4m         &nbs
p;          
                          (fb530m)

Sanza à languettes métalliques sur table «massive» sans résonateur (T4m)

Ethnie: Shona

Vernaculaire: mbira dzavadzimu ou mbira dza vadzimu

Pays: Zimbabwe

Dimension: 23 cm

Matériau: bois, métal

Table: la table est un bloc de bois de forme carré creusé de manière à laisser un rebord sur tout le pourtour

Clavier: double en terrasse + simple (7 + 7 + 8) soit 22 languettes. (touches palmées arrondies)

Chevalets: antérieur: oui, lame métallique droite posée sur le champ et insérée dans les rebords latéraux – postérieur: est le rebord postérieur de la table

Barre de pression: métallique de section ronde ligaturée à la table par du fil métallique et présentant aux deux extrémités un enroulement en forme d’anneau.

Décoration: à l’arrière sont gravés une hache et une lance entrecroisées (gravure assez malhabile et probablement postérieur à la fabrication de la sanza).

Remarque: absence d’éléments vibrants. Quoique collectée au Nigéria, cette sanza provient incontestablement du Zimbabwe

Réf. pour semblables:

  • Livres: Buchner A. – Encyclopédie des Instruments de Musique – 1980 – p.256, N° 320 * African music (périodique) – 1963 – vol.3/2, p. 23 * Phelps S The James Hooper collection – 1975 – p. 404 * Collectif Zimbabwe TI Tervuren – 1997 – p.25, N° 65 à 67 * Collectif – Turn up The Volume – 1999 – p. 240 & 241  * Kirby Percival R. – The Musical Instruments of the Native Races of South Africa – 1934 – planche 22/B
  • Sites internet par recherche sur MBIRA de nombreux exemples dont le site: http://mbiraspirit.free.fr/ 


Type: T4m                                               (fb531m)

Sanza à languettes métalliques sur table «massive» sans résonateur (T4m)

Ethnie: Shona

Vernaculaire: mbira dzavadzimu ou mbira dza vadzimu

Pays: Zimbabwe

Dimension: 21 cm

Matériau: bois, métal, capsules

Table: la table est un bloc de bois de forme carré creusé de manière à laisser un rebord sur tout le pourtour

Clavier: double en terrasse + simple (7 + 4 + 7) soit 18 languettes. (touches palmées arrondies ?)

Chevalets: antérieur: oui, lame métallique droite posée sur le champ et insérée dans les rebords latéraux – postérieur: est le rebord postérieur de la table

Barre de pression: métallique de section ronde attachée à la table par un système complexe de boulonnage et présentant aux deux extrémités un enroulement en forme d’anneau.

Décoration: à l’arrière grafiti d’un prénom : Henry ?

Remarque: éléments vibrants constitués d’une plaque de tôle clouée à la table. Sur cette tôle deux capsules de bouteille sont encore attachées par un fin fil et renforce l’effet de sonnailles en s’entrechoquant avec la plaque de tôle. Fragment d’une suspente constituée d’une chaîne métallique. Trou à droite du bord antérieur.

Réf. pour semblables:

  • Livres: Buchner A. – Encyclopédie des Instruments de Musique – 1980 – p.256, N° 320 * African music (périodique) – 1963 – vol.3/2, p. 23 * Phelps S The James Hooper collection – 1975 – p. 404 * Collectif Zimbabwe TI Tervuren – 1997 – p.25, N° 65 à 67 * Collectif – Turn up The Volume – 1999 – p. 240 & 241  * Kirby Percival R. – The Musical Instruments of the Native Races of South Africa – 1934 – planche 22/B
  • Sites internet par recherche sur MBIRA de nombreux exemples dont le site: http://mbiraspirit.free.fr/ 


Type: T4m                                               (fb533m)

Sanza à languettes métalliques sur table «massive» sans résonateur (T4m)

Ethnie: Shona

Vernaculaire: mbira dzavadzimu ou mbira dza vadzimu

Pays: Zimbabwe

Dimension: 23 cm

Matériau: b
ois, métal, capsules

Table: la table est un bloc de bois de forme carré creusé de manière à laisser un rebord sur tout le pourtour

Clavier: double en terrasse + simple (7 + 7 + 8) soit 22 languettes. (touches palmées arrondies)

Chevalets: antérieur: oui, lame métallique droite posée sur le champ et insérée dans les rebords latéraux – postérieur: est le rebord postérieur de la table

Barre de pression: métallique en laiton de section ronde attachée à la table par un système complexe de boulonnage.

Décoration: néant

Remarque: éléments vibrants constitués d’une plaque de tôle clouée à la table. Sur cette tôle trois capsules de bouteille sont encore attachées et renforce l’effet de sonnailles en s’entrechoquant avec la plaque de tôle. Suspente constituée d’une chaîne métallique. Les languettes métalliques sont fabriquées en fer (19), laiton (1) et aluminium (2). Trou à droite du bord antérieur.

Réf. pour semblables:

  • Livres: Buchner A. – Encyclopédie des Instruments de Musique – 1980 – p.256, N° 320 * African music (périodique) – 1963 – vol.3/2, p. 23 * Phelps S The James Hooper collection – 1975 – p. 404 * Collectif Zimbabwe TI Tervuren – 1997 – p.25, N° 65 à 67 * Collectif – Turn up The Volume – 1999 – p. 240 & 241  * Kirby Percival R. – The Musical Instruments of the Native Races of South Africa – 1934 – planche 22/B
  • Sites internet par recherche sur MBIRA de nombreux exemples dont le site: http://mbiraspirit.free.fr/ 


Type: T4m                                               (fb534m)

Sanza à languettes métalliques sur table «massive» sans résonateur (T4m)

Ethnie: Shona

Vernaculaire: mbira dzavadzimu ou mbira dza vadzimu

Pays: Zimbabwe

Dimension: 22 cm

Matériau: bois, métal, capsules

Table: la table est un bloc de bois de forme carré creusé de manière à laisser un rebord sur tout le pourtour

Clavier: double en terrasse + simple (7 + 7 + 10) soit 24 languettes. (touch
es palmées arrondies ?)

Chevalets: antérieur: oui, lame métallique droite posée sur le champ et insérée dans les rebords latéraux – postérieur: est le rebord postérieur de la table

Barre de pression: métallique de section ronde attachée à la table par un système complexe de boulonnage.

Décoration: néant

Remarque: éléments vibrants constitués d’une plaque de tôle clouée à la table. Sur cette tôle sept capsules de bouteille sont encore attachées et renforce l’effet de sonnailles en s’entrechoquant avec la plaque de tôle. Les languettes métalliques sont fabriquées en fer (19), laiton (5). Trou à droite du bord antérieur.

Réf. pour semblables:

  • Livres: Buchner A. – Encyclopédie des Instruments de Musique – 1980 – p.256, N° 320 * African music (périodique) – 1963 – vol.3/2, p. 23 * Phelps S The James Hooper collection – 1975 – p. 404 * Collectif Zimbabwe TI Tervuren – 1997 – p.25, N° 65 à 67 * Collectif – Turn up The Volume – 1999 – p. 240 & 241  * Kirby Percival R. – The Musical Instruments of the Native Races of South Africa – 1934 – planche 22/B
  • Sites internet par recherche sur MBIRA de nombreux exemples dont le site: http://mbiraspirit.free.fr/ 


Type: T4m                                               (fb550m)

Sanza à languettes métalliques sur table «massive» sans résonateur (T4m)

Ethnie: Ndebele / Xhosa ?

Vernaculaire: mbira

Pays: Zimbabwe

Dimension: 19 cm

Matériau: bois, métal, capsules

Table: de construction différente des précédentes, la table est ici un bloc de bois de forme carré creusé de manière à laisser deux rebords latéraux

Clavier: double en terrasse de 26 languettes à crêtes médianes. (touches arrondies)

Chevalets: antérieur: oui, lame métallique droite posée sur le champ et insérée dans les rebords latéraux – postérieur: oui, baguette plate en bois

Barre de pression: métallique de section carrée, présentant aux deux extrémités un enroulement en forme d’anneau. Elle est ligaturée aux languettes et à la table par du fil de fer.

Décoration: néant

Remarque: éléments vibrants constitués d’une plaque de tôle attachée à la table par du fil de cuivre. Sur cette tôle trois capsules de bouteille sont attachées par un fin fil métallique et renforce l’effet de sonnailles en s’entrechoquant avec la plaque de tôle. Suspente constituée d’une chaîne.

Réf. pour semblables:

  • Sites internet AMNH (American Museum of Natural History: N° 90.0/154 – 90.0/1255 – 90.1/6799)


Publicité

Un commentaire sur “Lamellophone – SANZA Type4m

  1. Bonjour, je viens de decouvrir ce blog magnifique. Je fais des recherches sur les sanza depuis quelques semaines car je vais bientot etre papa et j aurai donc besoin d’une sanza aux sonorités larges comme le Mbira dzavadzimu.
    Ou puis je en trouver sur Paris?
    Merci de votre aide

    J’aime

Les commentaires sont fermés.