Lamellophone – SANZA INTRO

INSTRUMENTS DE MUSIQUE D’AFRIQUE – Sanza

IDIOPHONES – Partie 1 : sanza

 

« Pour l’Africain, on peut dire que la musique est davantage la vie qu’une part de celle-ci ».

Kirby (1934)

« Le village où il n’y a pas de musicien n’est pas un endroit où l’homme puisse rester ».

 Proverbe Dan

Depuis la plus tendre enfance la musique et la danse font partie de la vie des africains en scandant le rythme de l’existence:

« La musique est présente dans tous les domaines d’activité, de la chasse à la pêche, en passant par les travaux des champs, le pilage du mil, la danse. La musique est naturellement de toutes les fêtes ou cérémonies: fêtes rurales ou saisonnières, cérémonies pour conjurer le sort, calmer les esprits malfaisants ou remercier les dieux protecteurs et les génies tutélaires. Elle préside aux événements importants de la vie: naissance, initiation, fiançailles, mariage, funérailles ».

« L’Afrique Noire possède une infinie variété d’instruments de musique traditionnels. De facture tantôt extrêmement soignée, tantôt  sommaire, ils ont tous un point commun: ce ne sont jamais des instruments de série. En Afrique les artisans luthiers sont rares, et d’une manière générale, le musicien fabrique lui-même son instrument et lui donne sa personnalité grâce à des artifices variables d’un individu à l’autre. De même, le musicien – luthier communique à son instrument la langue que ce dernier parlera, et qui est celle de l’homme lui-même ». (F. Bebey – 1969)

Source: Photo Charles Hénault – 1975

Légende: Danse d’initiation chez les Lengola

Pays: R.D. Congo

Fb/div02

              

Source: Carte postale – photo J. Hammar – avant 1909

Légende: N° 72 LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE

Pays: R. D. du Congo – région du Bas-Congo

Fb/cp17

Voir une photo du même groupe de musiciens dans Söderberg Bertil – Les Instruments de musique au Bas-Congo et dans les régions avoisinantes – 1956 – Pl. XIV N°1. Avec la légende suivante:

Ensemble d’instruments de musique, de gauche à droite: mwakasa, hochet fait d’une coque de fruit; nsambi, pluriac à cinq cordes; diti, sanza; tambour tronconique à peau unique; grand tambour à peau unique; tambour de bois à fente médiane; tambour à peau clouée, porté en bandoulière; tambour tronconique; ngongi, cloche double en fer.


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En plus de sa raison d’être: « émettre des sons structurés, qui son perçus comme musicaux et donc signifiants, par ses usagers », l’instrument de musique traditionnel comporte souvent une dimension supplémentaire déterminée par le rôle fonctionnel et symbolique qu’il joue dans la société. Son usage relève bien souvent du domaine de la religion, de la magie ou de l’exercice du pouvoir temporel ou spirituel:

en intervenant comme moyen de communication privilégié entre la communauté et l’individu et les forces surnaturelles. D’une manière générale l’instrument joue un rôle primordial dans la plupart des rites religieux destinés à honorer les divinités et les esprits (mânes, ancêtres, génies) à des fins propitiatoires.

en transmettant des messages de caractère linguistique ou des signaux sonores.

 Malgré leur très grande diversité, les instruments de musique traditionnels d’Afrique Noire peuvent être rangés dans la classification de Hornbostel / Sachs, classification quasi universellement adoptée par les organologies et les muséologues; elle se fonde conjointement sur les propriétés sonores de la matière et de l’air et sur quelques procédés de mise en vibration qui prévaut et divise les types instrumentaux en quatre catégories:

Les idiophones: le son est produit par la vibration de la matière elle-même sans avoir recours à celle de cordes ou de membranes ni par déplacement d’air.

Les membranophones: le son est produit par la vibration d’une ou de deux membranes tendues.

Les cordophones: le son est produit par la vibration d’une ou de plusieurs cordes  tendues en les pinçant, en les frottant ou en les frappant.

Les aérophones: l’air est le principal élément vibratoire.

Ces quatre catégories étant elles-mêmes subdivisées suivant un certain nombre de critères, parmi lesquels (cordophone exceptés) un des plus important est le mode d’ébranlement.

Remarquons que de nombreux instruments de musique produisent les sons selon deux, voire trois ou quatre principes acoustiques distincts, ce qui rend leur détermination typologique discutable. C’est donc le mode d’obtention du son le plus important ou le plus distinctif qui est retenu comme critère organologique déterminant.

Dans les collections des musées, les idiophones sont de loin les plus nombreux et les plus diversifiés. Ils représentent près de 50% de l’ensemble des instruments de musique traditionnels d’Afrique Noire répertoriés dans leurs réserves. Il ne faut pas oublier que deux des traits essentiels de la musique africaine sont le rythme et la prédominance de la percussion.

En fonction de ce mode de percussion on répartit les idiophones en six grands groupes:

  • Les idiophones par pincement:

                 Sanza

   (guimbardes, boîtes à musique)*

  • Les idiophones par entre-choc:

                 – Cla(i)quettes

   (cymbales, castagnettes) *

  •  Les idiophones par raclement:

                 – Racles

   (crécelles)*

  • Les idiophones par friction:

   (frotteurs, bols chantant)*

  •  Les idiophones par frappement:

                 – Xylophones

                 – Tambours à fente

                 – Cloches avec ou sans battant

                 – Tape-cuisses 

   (bâtons de rythme, mortiers, métallophones, lithophones, cristallophones, simandres, tambours d’eau…)*

  •  Les idiophones par secouement:

                 – Hochets

                 – Grelots & sonnailles

                 – Sistres

   (anklung)*

Parfois, les musicologues, ramène ce classement à trois modes principaux de percussion:

– Par percussion directe: (xylophones, tambours à fente, cloches sans battant …)

– Par percussion indirecte: (grelots, sonnailles, hochets, racles, cloches avec battant …)

– Par pincement: (sanza …)

 * En italique et entre parenthèses: types d’instruments peu ou pas représentés en Afrique Noire.

IDIOPHONE PAR PINCEMENT (SANZA)

Instrument dont le son est produit par la flexion et la détente à l’aide des doigts, d’une matière flexible (métallique ou végétale).

Il s’agit d’un support sur lequel sont fixées, par l’intermédiaire d’un chevalet, une série de languettes (lamelles), vibrantes plus ou moins parallèles, c’est donc un lamellophone, plus précisément un idiophone « par pincement ». Les languettes de la sanza sont mises en vibration par les pouces du musicien qui peut même, à l’occasion, modifier, en cours de jeu, l’accord de son instrument s’il ne lui convient pas.

Originaire d’Afrique noire, la sanza ne semble pas posséder d’équivalent dans le corps instrumental occidental.

Quant à son ancienneté, les écrits divergent suivant les auteurs: pour le professeur Curt Sachs cet instrument ne serait pas très ancien, il n’aurait seulement été mentionné par les explorateurs qu’à partir du XIXe siècle. Par contre, pour d’autres musicologues, elle fut déjà décrite pour la première fois par le frère dominicain Dos Santos en 1586 sous l’appellation « ambira », puis par Bonanni, en 1722, comme « marimba de cafri »; la sanza est mentionnée de nombreuses fois, par la suite sous des noms divers.

 

 

 

Source: BASSANI Ezio – SCULTURA AFRICANA nei musei italiani – 1977 – Bologna: Calderini – p. XV

Légende: Tavola n° CXLIV del « Gabinetto Armo- nico » di Filippo Bonanni, stampato nel 1722. Suonatore di sanza: cfr. n. 457 del Museo Pigorini di Roma

Fb/liv02

 

 

L’aire de diffusion de la sanza s’étend presque dans toute l’Afrique Noire (avec un taux de concentration élevé dans les bassins du Congo et du Zambèze), et à certains points du golfe de Guinée mais aussi de l’Amérique Centrale (Antilles, Guyane): on suppose que la sanza aurait émigré vers l’Amérique avec l’esclavagisme. Cette présence sur les deux côtés de l’Atlantique suggère à M. Montandon que les noirs affranchis d’Amérique avaient pu la rapporter dans le Libéria et en Haute-Guinée et ainsi la ramener dans une Afrique plus septentrionale que celle où elle a sans doute vu le jour.

Si les termes « SANZA » en Kiswahili et « MBIRA » au Zimbabwe sont les deux appellations usitées les plus courantes pour désigner cet instrument de musique.

On trouve aussi selon les régions et les groupes ethniques, de nombreuses autres appellations vernaculaires pour la désigner, parmi les centaines existantes, en voici quelques unes:

LIKEMBE (en Lingala), TSHISANJI (en Tshiluba du Kasaï), KISANJI (en Luba du Shaba ex. Katanga), KALIMBA, SARTELE, GIBINJI, ILIMBA, KASELA, KIZANZI, TXA QUELE, ISANJI, ESANDJU, KADIMBA, MUTYAPATA, KANKOBELE, LUNGANDU, KYANYA, KAKOLO NDONDO, DEZA, KONE …

1 – DESCRIPTION

1.1 Eléments constitutifs

Les languettes

La sanza comporte une série de languettes (lamelles) flexibles dont le nombre peut varier fortement d’un exemplaire à l’autre (de trois languettes à quarante-neuf) dans cette collection.

            Ces languettes sont de deux types:

  Végétales: raphia / rotin / éclats de bambou   … .

  Métalliques: en fer forgé ou fabriquées à partir de clous / baleines de parapluie / fil de fer de pneus de camion / rayons de roues de bicyclette … .

La « touche » de la languette peut prendre des formes différentes, que ce soit pour les languettes végétales (pointes carrées / arrondies / effilées…) ou les languettes métalliques (pointes palmées / arrondies / effilées …)

Le clavier

L’ensemble des languettes constitue le clavier dont l’agencement (nombre de languettes et position de celles-ci) déterminera l’accord et la technique de jeu de la sanza.

Dans la pratique, on constate qu’il n’est pas toujours aussi aisé de classer un clavier dans un type du schéma ci avant. Ils sont parfois atypiques ou détériorés: des languettes manquent, et il donc impossible de leur attribué une classification adéquate.

Le support

Le support des languettes (table/caisse de résonance) est constitué:

d’un assemblage de tronçons de matériaux légers (radeau) constitué par (de la moelle ou pétiole de palmier raphia/de la moelle ou pétiole de ronier / bambou évidé …)

d’une planchette de bois simple

d’une pièce de bois épaisse évidée ou d’une boîte rectangulaire formée de planchettes assemblées qui forme ce que l’on appelle la caisse ou corps de résonance.

 

Le mode de fixation

Les languettes sont fixées sur le support (la table ou la caisse de résonance) par une barre de pression transversale (en matière végétale ou en métal), elle-même maintenue au support par des liens en fibre végétale ou par du fil métallique. Elles sont, par ailleurs, posées sur deux chevalets situés de part et d’autre de la barre de pression (chevalet antérieur et chevalet postérieur). Leur fonction étant d’écarter les languettes de la table et de créer une tension suffisante pour la vibration de celles-ci. Ici également on constatera que le chevalet postérieur est parfois absent ou taillé dans la masse de la table.

 Le(s) trou(s)  acoustique(s)

Le support ou la caisse de résonance est souvent percé de un ou plusieurs trous acoustiques ce qui permet en le(s) bouchant avec les doigts, de modifier la sonorité de la sanza.

Dans certaines ethnies (en Tanzanie par exemple) on obstrue parfois le(s) trou(s) acoustique(s) par un ou des bouchons.

Le(s) bruiteurs

La sanza est le plus souvent pourvue de bruiteurs (éléments vibrants ou sonnailles), 

ces bruiteurs consistent en:

– de petits anneaux métalliques enfilés sur les languettes

– de petits anneaux métalliques enfilés sur une tige fixée à la tablette

– de petites pierres, graines séchées, pièces de monnaie, petits coquillages… introduits dans la caisse dont le grésillement se mêle pendant le jeu au son des languettes.

Sur certaines sanza, les trous acoustiques sont recouverts d’une membrane. En faisant vibrer les languettes, l’air enfermé dans la caisse se met à vibrer, ces vibrations, se transmettant à la membrane de l’orifice, produisent un bourdonnement caractéristique. On retrouve ce type de membrane sur les balafons mais aussi sur les tambours.

Contrairement à l’Occident, ou la musique est avant tout « l’art de combiner des sons d’une manière agréable à l’oreille », en Afrique les musiciens ne recherchent pas les sonorités pures, mais plutôt celles pour exprimer la vie et ses divers aspects.

1.2 Accordage & résonance de la sanza

Les sanza sont accordées suivant des critères variables d’un groupe ethnique à l’autre. Le jeu d’une sanza du Cameroun n’est pas celui d’une sanza de Tanzanie !

La sonorité varie selon la matière, mais aussi la longueur de sa partie vibrante. La longueur dont les touches dépassent leur point de fixation, détermine des notes plus hautes ou plus basses. Pour modifier l’accordage le musicien agira donc sur la longueur de cette partie vibrante. Sur beaucoup de sanza nous retrouvons collée sous certaines touches de la résine ou de la cire ce qui en alourdissant celle-ci modifie également la sonorité de l’instrument.

La vibration devient audible par l’intermédiaire du support (table ou caisse/corps de résonance). Pour faire ressortir les qualités sonores de l’instrument le musicien place sa sanza sur ou à l’intérieur d’un corps de résonance, une calebasse par exemple. Parfois lorsque le musicien désire amplifier le son d’une sanza dépourvue de corps de résonance, il la place au-dessus d’un  trou dans le sol.

1.3 Décoration de la sanza

La décoration de motifs géométriques incisés sur les sanza de type à « languettes métalliques » est fréquente. Les sanza à « languettes végétales », quant à elles, utilisent souvent des matériaux tendres et friables et ne sont que rarement décorées.

La fonction esthétique est sans aucun doute la motivation première de ces décorations. Mais chez les Ts
hokwe par exemple une fonction symbolique peut également être attribué à la décoration de la table de résonance qui est ornée de motifs incisés « yitoma » qui sont empruntés aux dessins des scarifications corporelles et à ceux  de la vannerie  (M.L. Bastin – Art décoratif Tshokwe – 1961).

Les Tabwa, dont les sanza « kankobele » sont ornées d’une tête sculptée, associaient autrefois de tels instruments au culte « butwa » et par conséquent ne servaient que dans un contexte rituel et sacré (Maurer & Roberts – 1985).

2 – TECHNIQUES DE JEU

Dans la technique de jeu la plus répandue, le musicien tient l’instrument des deux mains devant lui, les extrémités des languettes (touches) sont mises en vibration par ses pouces et index .

Il existe bien sur d’autres techniques de jeu; dépendant du modèle de sanza, mais aussi de la région où elle est utilisée: au Cameroun dans l’ethnie Bamileke, la sanza est parfois posée et les touches sont frappées.

3 – ROLES

La sanza est surtout jouée en solo. Elle accompagne le chant du voyageur, durant sa marche solitaire et joue ainsi le rôle de remède contre la solitude et contre la fatigue chez le gardien de nuit. Elle peut parfois aussi accompagner un choeur, ou encore faire partie d’un orchestre.

 

Source: Carte postale – sans référence – avant 1930

Légende: Une femme Balilash (Katanga) jouant un air de son clavecin primitif

Pays: R.D. du Congo – région du Shaba

Fb/cp07

 

La sanza n’est pas seulement un instrument de délassement. Dans certaines régions, des pouvoirs magiques sont attribués tant aux matériaux qui rentre dans sa fabrication qu’aux sonorités de l’instrument et son jeu peut être associé au déroulement d’un rituel. Elle joue un rôle de symbole très important. Chez les Lemba du Transvaal, par exemple, la sanza « deza » est un objet sacré. Il représente les ancêtres « Lemba », et permet de susciter leur incarnation en des médiums.

4 – CLASSIFICATION

C’est à J. S. Laurenty que nous devons la classification détaillée des 467 sanza (22 groupes) de la collection du Musée de Tervuren. Cette classification réalisée en 1962 reste limitée à la zone géographique du bassin du Zaïre (la collection provenant essentiellement de l’ancien Congo Belge).

En 1986 François Borel a établi une classification pour les 102 sanza (12 groupes) de la collection du Musée Ethnographique de Neuchâtel. Cette classification, quoique plus synthétique et portant sur un nombre nettement plus restreint de sanza que celui du Musée de Tervuren, a l’intérêt d’être mieux adaptée à l’ensemble des différents types de Sanza provenant des pays de l’Afrique Noire.

C’est donc en s’inspirant de ce classement qui accorde la primauté aux éléments qui ont une influence sur la sonorité de l’instrument, que nous déterminerons le nôtre:

1 – La matière première des languettes (végétale ou métallique).

2 – La matière et la structure de la table d’harmonie et du corps de résonance s’il est présent.

3 – La structure du clavier qui est déterminée par l’accord et la technique de jeu de la sanza.

4 – Eventuellement les décorations (absence ou présence).

Nous ne retiendrons pas le critère « accord du clavier » car beaucoup de ces sanza sont de facture ancienne: les claviers sont souvent dépareillés et donc partiellement ou totalement désaccordés. Il est bien entendu que ce classement est incomplet car notre ensemble de sanza comporte des manques et n’est pas représentatif de tous les types existant en Afrique Noire.

Nous retiendrons au total 13 types principaux pour les deux grandes catégories de sanza

Sanza à languettes végétales (5 types)                             

Sanza à languettes métalliques (8 types)

 

SANZA A LANGUETTES VEGETALES 

· TYPE 1v

Sanza à languettes végétales sur table « en radeau » sans résonateur (T1v)

Série 1: Sanza sur table «en radeau» provenant de la région du Kwango-KasaÏ (s1)

S1.1 – Sanza sur  table « en radeau » à sections semi cylindriques avec échancrure (s1.1)

S1.2 – Sanza sur  table « en radeau » à sections semi cylindriques sans échancrure (s1.2)

S1.3 – Sanza sur  table  « en radeau »  à sections triangulaires avec échancrure (s1.3)

S1.4 – Sanza sur table  « en radeau » atypique (s1.4)

Série 2: Sanza sur table « en radeau » à sections plates (s2)

· TYPE 2v

Sanza à languettes végétales sur table « en radeau » formant résonateur (T2v)

· TYPE 3v

Sanza à languettes végétales sur table « simple » sans résonateur (T3v)

· TYPE 4v

Sanza à languettes végétales sur table « en caissette » formant résonateur (T4v)

Série 1: Sanza sur  table « en caissette » à clavier simple (s1)

S1.1 – Sanza sur  table « en caissette » sans figuration (s1.1)

S1.2 – Sanza sur  table « en caissette » avec figuration stylisée (s1.2)

S1.3 – Sanza sur  table « en caissette » avec figuration anthropomorphe  (s1.3)

Série 2: Sanza sur  table « en caissette » à deux claviers simples séparés à sections droites (s2)

S2.1 – Sanza sur  table « en caissette » sans figuration (s2.1)

S2.2 – Sanza sur  table « en caissette » avec figuration stylisée (s2.2)

S2.3 – Sanza sur  table « en caissette » avec figuration anthropomorphe (s2.3)

 · TYPE 5v

Sanza à languettes végétales sur table « simple » avec résonateur de forme et matières diverses (T5v)

 


 

SANZA A LANGUETTES METALLIQUES

· TYPE 1m

Sanza à languettes métalliques sur table « simple » à chevalet postérieur taillé dans la masse / sans résonateur (T1m)

Série 1: Sanza à clavier simple (s1)

S1.1 – Table avec rebords (s1.1)

S1.2 – Table sans rebord (s1.2)

Série 2: Sanza à clavier en terrasse (s2)

S2.1 – Clavier double en terrasse (s2.1)

S2.2 – Clavier triple en terrasse (s2.2)

· TYPE 2m

Sanza à languettes métalliques sur table « simple » à chevalet postérieur rapporté / sans résonateur (T2m)

Série 1: Sanza à clavier simple (s1)

S1.1 – Table avec rebords (s1.1)

S1.2 – Table sans rebord (s1.2)

Série 2: Sanza à clavier en terrasse (s2)

S2.1 – Clavier double en terrasse (s2.1)

S2.2 – Clavier triple en terrasse (s2.2)

· TYPE 3m

Sanza à languettes métalliques sur table « creusée » à talon formant chevalet postérieur / sans résonateur (T3m)

Série 1: Sanza à 1 tête (s1)

S1.1 – Sanza à 1 tête à chevalet antérieur droit en métal (s1.1)

S1.2 – Sanza à 1 tête à chevalet antérieur droit en bois (s1.2)

S1.3 – Sanza à 1 tête à chevalet antérieur en forme de U en métal (s1.3)

Série 2: Sanza à 2 têtes (s2)

S2.1 – Sanza à 2 têtes à chevalet antérieur droit en métal (s2.1)

S2.2 – Sanza à 2 têtes à chevalet antérieur droit en bois (s2.2)

Série 3: Sanza sans tête (s3)

 

· TYPE 4m

Sanza à languettes métalliques sur table « massive » / sans résonateur (T4m)

Série 1: Sanza à clavier double en terrasse + clavier simple / chevalet postérieur taillé dans la masse (s1)

Série 2: Sanza à clavier double en terrasse à chevalet postérieur rapporté (s2)

· TYPE 5m

Sanza à languettes métalliques sur table « épaisse» évidée par le côté antérieur / formant résonateur (T5m)

Série 1: Sanza sur table trapézoïdale (s1)

Série 2: Sanza sur table concave (s2)

Série 3: Autre (s3)

· TYPE 6m

Sanza à languettes métalliques sur table en « en caissette » évidée et refermée / formant résonateur (T6m)

Série 1: Sanza à chevalet antérieur en forme de U (s1)

S1.1 – Table avec rebords (s1.1)

S1.2 – Table sans rebord (s1.2)

Série 2: Sanza à chevalet antérieur en forme de S (s2)

Série 3: Sanza à chevalet antérieur droit (s3)

· TYPE 7m

Sanza à languettes métalliques sur table en « en caissette » assemblée / formant résonateur (T7m)

· TYPE 8m

Sanza à languettes métalliques sur table avec résonateur de formes et matières diverses (T8m)



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7 commentaires sur “Lamellophone – SANZA INTRO

  1. bien que je connaissais ce genre d’instrument, mon papa en avait rapporté un du congo quand j’étais petite, hier pour Pâques, on l’a retrouver, je mets sa photo sur mon blog.

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  2. je suis vraiment heureux de se que vous fait pour les générations avenir en donnant des informations utiles sur la culture .J’aimerai avoir si possible des information sur les peuple du libéria ,leurs musiques et leurs instruments de musique merçi

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  3. Merci pour ce travail de mémoire que faites pour les générations futures. Je suis originaire du Congo et je joue de la sanza. J’ai déjà fais venir avec l’aide du festival « Musiques métisses » l’un des deux derniers joueurs de Likembé congolais « Papa Kourand » accompagné de Mr Malanda le dernier facteur de Likembé vivant (89 ans) nous avons passé des moments magnifiques Je pense qu’ils seront très fière de connaître votre travail.
    Mille merci
    E.Biayenda

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  4. Merci pour ce travail de mémoire que faites pour les générations futures. Je suis originaire du Congo et je joue de la sanza. J’ai déjà fais venir avec l’aide du festival « Musiques métisses » l’un des deux derniers joueurs de Likembé congolais « Papa Kourand » accompagné de Mr Malanda le dernier facteur de Likembé vivant (89 ans) nous avons passé des moments magnifiques Je pense qu’ils seront très fière de connaître votre travail.
    Mille merci
    E.Biayenda

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  5. J’aurais besoin de m’en procurer un afin de le trafiquer avec un micro interne et de pouvoir modifier les sons…
    Merci si tu as une idée a ce sujet??
    Didier

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  6. bender_1@comcast.net
    I have a mbira that looks old and is made of hand carved wood. I was told it came from a museum and it’s very unique looking. I can Email you a photo if you would enjoy this. The mbira looks like a man with a Head at the top, a body which is the mbira, and legs below the body, and no arms. There is a hand carved design all over the body (front, back and sides). The sound hole looks like a capital M cut straight across athe bottom of the M, ( or like two pyramids or mountains side by side). Again, let me know if you would like to see a photo. I would like to find out more about the item including origin and monetary value.
    Sincerely Michael

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  7. Excellent journée à toutes et tous ,
    En premier lieu , permettez-moi de vous montrer ma gratitude pour toutes les super infos que j’ai rencontrées sur cet excellent site web .
    Je ne suis pas assuree d’être au bon section mais je n’en ai pas vu de meilleure .
    Je viens de White river, États-Unis. J’ai 43 ans et j’ai 4 agréables enfants qui sont tous âgés entre 9 et 14 années (1 est adopté). J’aime beaucoup beaucoup les animaux et j’essaie de leur garantir les concoctions qui leur rendent l’existance plus agréable.
    Merci dès ce jour pour toutes les formidables discussions dans le futur et je vous remercie de votre compréhension pour mon français moins que parfait: ma langue maternelle est le portuguais et j’essaie d’apprendre mais c’est très ardu !
    A +
    Arthru

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